Une pelouse en bonne santé n’est pas seulement agréable à l’œil : elle procure un éventail de bienfaits sur les plans environnemental, social et économique.
Les arbres, les arbustes et le gazon aident à retirer de l’air la fumée, les poussières et d’autres polluants, ce qui contribue au maintien de la santé des humains. De plus, selon les experts, un seul arbre sain devant la maison peut supprimer de l’atmosphère autant de dioxyde de carbone qu’une voiture en émet sur 17 700 km. Les pelouses produisent aussi de l’oxygène : une superficie gazonnée de 2 500 pi2 rejette suffisamment d’oxygène pour permettre à une famille de quatre personnes de respirer pendant un an.
En outre, les pelouses et jardins jouent un rôle important dans l’amélioration de la qualité de l’eau et dans la prévention de l’érosion du sol. Les données indiquent qu’un terrain bien paysagé aide à prévenir l’écoulement de polluants dans les réserves d’eau, limite le ruissellement des eaux de surface et réduit l’engorgement des conduits pluviaux. Une couverture dense de plantes et de paillis maintient le sol en place et empêche que les sédiments soient entraînés vers les lacs, les cours d’eau, les égouts pluviaux et les routes.
Par ailleurs, des études montrent que les gens sont disposés à payer davantage pour une résidence entourée d’un bel aménagement paysager – jusqu’à 11 % de plus que pour une maison dont le terrain est mal entretenu.
Pour toutes ces raisons, la plupart des propriétaires accordent beaucoup de temps et d’attention à l’entretien de leur terrain. Beaucoup recourent à une combinaison de procédés, y compris le désherbage manuel et l’application soigneuse de pesticides, pour lutter contre les mauvaises herbes, les insectes et les maladies qui menacent la santé de leurs pelouses et jardins.
L’édition Nouvelles