Plante annuelle: Le Muflier

Plante annuelle: Le Muflier

Le muflier, aussi connu comme l’antirrhinum majus, est une fleur venant de la région Méditerranée, du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. Le nom antirrhinum vient du Grec, et le nom décrit la forme unique de la fleur, qui ressemble un peu à un dragon. La fleur peut être de plusieurs couleurs différentes et vives. Le muflier pousse maintenant partout à travers l’Amérique du Nord en tant qu’annuelle, et résiste bien à l’hiver, mais a plus de difficulté avec les températures extrêmement chaudes. Les longues journées d’été peuvent faire que la plante cesse de fleurir, mais dans un climat modéré, elles peuvent fleurir l’année suivante, et devenir plus fortes.

Un autre avantage de cette plante est sa fragrance. Non seulement le muflier a une odeur fleurie très prononcée, mais la plante se retrouve à être aussi un grand attrait pour les pollinisateurs comme les colibris, les bourdons, et les abeilles de plus grande taille. Les petites abeilles à miel ne sont pas assez fortes pour s’installer sur une plante aussi robuste.

Les mufliers viennent dans plusieurs grandeurs différentes: les nains, les moyens et les grands. Les nains sont les plus communs, et on les retrouve dans la plupart des centres de jardinage.  Les grands sont, par contre, le type de muflier que l’on retrouve le plus souvent dans les arrangements floraux.

Parce qu’il a une grande résistance au froid, le muflier est normalement une des premières fleurs à être plantées au début du printemps, avec les violettes et les vivaces. Les plantes plus grandes devraient êtres piquées dès qu’elles seront plantées pour éviter qu’elles tombent, puisque les plantes du dessus sont lourdes. Il est primordial d’enlever les fleurs mortes au fur et à mesure que l’été avance, pour assurer que la plante continue à fleurir, mais aussi pour prévenir la botrytis (la maladie de la moisissure grise). Surveiller l’humidité du sol est aussi très important, et les mufliers devraient être fertilisés régulièrement.

Si vous cherchez une plante qui captive le regard avec ses belles couleurs et sa forme particulière, le muflier est pour vous!

Fiche plante : Le Muflier

  • Nom commun : Muflier
  • Nom latin : Antirrhinum majus
  • Famille de la plante : Scrofulariacées
  • Catégorie : Annuelle
  • Hauteur : 15 cm à 120 cm
  • Largeur : 25cm
  • Distance de plantation au sol : 30 à 50cm
  • Exposition : plein soleil, mi-ombre.
  • Sol : riche, bien drainé
  • Floraison :  mai à octobre
  • Couleur Floraison : Rouge, Blanc, Rose, Jaune, Violet, Bleu
  • Couleur Feuillage :  vert
  • Utilisations : rocaille, massif, bordure, pot, jardinière, fleurs coupées


Source: https://ngb.org / Images: National Garden Bureau

Plante comestible: La citrouille

Plante comestible: La citrouille

La plupart des gens associent les citrouilles avec l’automne, de bons desserts et des festivités.

Les citrouilles sont le centre des décorations et des recettes de l’automne, et avec raison. Les citrouilles ont plusieurs bénéfices pour la santé, étant pleines de fibres, potassium, fer et vitamines A,B et C, tout en ayant peu de gras et de sodium. Elles aident aussi à maintenir une bonne santé du coeur et à maintenir une tension artérielle saine.

En tant que membre de la famille des Cucurbitaceae, les citrouilles sont cousines des concombres, melons, et des différentes sortes de courges. La majorité des citrouilles que nous connaissons font partie de la famille Cucurbita pepo, qui se distingue par sa couleur orange. La diversité des variétés considérées comme des citrouilles est infinie, il y en a de toutes les couleurs et de toutes les formes. Il y a des citrouilles de quelques grammes seulement, mais aussi des citrouilles de mille livres! Il y a des citrouilles oranges, jaunes, blanches, vertes, bleues et roses. Bref, il y a une diversité immense. Si vous voulez en planter, pour pouvoir profiter pleinement de leurs avantages, voici quelques trucs.

Pour avoir des citrouilles qui seront mûres à l’automne, il faut planter les graines à la fin mai, ou quand il n’y aura plus de risque de gel. Les graines peuvent être plantées directement à l’extérieur, ou elles peuvent avoir été commencées à l’intérieur. Les plantes doivent être plantées à au moins un pouce de la surface, et assurez vous qu’il y ait assez d’espace entre chaque plante. Les citrouilles grandissent mieux si elles sont fertilisées tout au long de la saison, et les fruits seront plus forts si les fleurs ont été pollinisées par des abeilles. Si les fleurs ne sont pas pollinisées, le fruit poussera, mais sera avorté avant d’avoir atteint la maturité. Quand les citrouilles seront prêtes et mûres, la tige brunira pour l’indiquer. Vous pouvez alors prendre votre citrouille toute mûre et belle en coupant délicatement la vigne, et en faire une bonne recette, ou alors l’utiliser comme décoration!

Fiche plante : La Citrouille

  • Nom commun : Citrouille
  • Nom latin : Cucurbita pepo
  • Famille de la plante : Cucurbitacées
  • Catégorie : Plante comestible
  • Hauteur : 20 à 50 cm
  • Largeur : jusqu’à 2m.
  • Distance de plantation au sol : 1 à 3 mètres
  • Exposition : plein soleil
  • Sol : très riche et bien drainé
  • Période de récolte : fin d’août à octobre
  • Couleur Floraison : Jaunes
  • Couleur Feuillage : vert
  • Utilisations : Potager

Source: https://ngb.org /Images: National Garden Bureau

 

Les avantages d’avoir une cuisine extérieure

Les avantages d’avoir une cuisine extérieure

Les cuisines d’extérieur deviennent rapidement l’une des tendances en vogue dans les projets d’aménagement paysager.

Vous rêvez d’une cuisine extérieure?  

Que vous souhaitiez simplement passer plus de temps dans votre cour ou vous amuser avec vos amis et votre famille, l’intégration d’une cuisine extérieure à votre projet d’aménagement paysager est un excellent moyen d’améliorer votre expérience extérieure, surtout si vous aimez la cuisine et les repas sociaux.

Votre cuisine extérieure fait partie de votre aménagement paysager: il doit y avoir un lien logique entre eux. Votre paysagiste veillera à ce qu’il y ait un flux équilibré.

Une cuisine extérieure a de nombreux avantages!

Que vous construisiez une nouvelle maison, ou que vous fassiez simplement un meilleur usage de l’espace dont vous disposez, créer un endroit pour cuisiner à l’extérieur pourrait être un bon investissement.

Voici 7 avantages d’installer une cuisine extérieure.

  1. Vous gagnez de la place : Avec une cuisine extérieure, vous avez plus d’espace pour les amis, les réunions de famille, et plus encore. Votre cour arrière devient l’endroit idéal pour se réunir. Votre cuisine extérieure deviendra l’endroit où se créent les souvenirs. Les congés, les anniversaires et les événements spéciaux seront plus mémorables lorsque tout le monde sera rassemblé sur le patio plutôt qu’à l’intérieur.
  2. Cuisiner devient plus simple : Au lieu de préparer la nourriture et cuisiner à l’intérieur, vous pouvez passer du temps avec vos invités autour de la cuisine extérieure. Ils peuvent même aider à la préparation du repas.
  3. Manger plus santé : La nourriture grillée est savoureuse, moins grasse, et meilleure pour vous que presque n’importe quelle autre option de cuisson. La chaleur élevée du BBQ aide également les aliments à retenir l’humidité et crée des saveurs différentes des cuisines d’intérieur.
  4. Garder les odeurs à l’extérieur : Certains aliments sentent bon pendant la cuisson, tandis que d’autres dégagent des odeurs moins désirables. Cuisiner à l’extérieur empêche votre maison de se remplir de ces arômes et garde votre cuisine au frais. Cuisiner dehors élimine les possibilités d’avoir des odeurs persistantes dans votre maison, particulièrement les fruits de mer et les plats frits.
  5. Vous passez plus de temps à l’extérieur : Au Québec nous avons des hivers longs et froids, une cuisine extérieure vous permet de profiter de votre cour et de l’air frais.
  6. Économiser : Plus vous cuisinez sur votre barbecue, moins vous dépenserez en électricité. Lorsque vous faites cuire, frire, rôtir et griller des aliments dans votre cuisine intérieure, la température de votre maison s’élève de plusieurs degrés. Alors, sans la chaleur supplémentaire associée à la cuisson à l’intérieur, votre climatiseur ne fonctionnera pas constamment pour garder la maison fraîche.  
  7. Un design à votre goût : Une grande variété d’options sont disponibles pour intégrer votre cuisine extérieure à votre aménagement paysager. Notre architecte paysagiste se fait un plaisir de prendre le temps de réaliser un design adapté à vos besoins et votre budget.

Si vous voulez créer l’espace idéal pour cuisiner, accueillir, vous détendre et profiter du temps à l’extérieur, contactez notre équipe de professionnels. Nous, “Les Aménagements Fleurs-o-Pavé” sommes des experts reconnus dans le domaine.

Prenez rendez-vous en téléphonant au : 450 – 752-5656

 

Image: Permacon / Îlot extérieur BBQ Tandem

La haie de cèdre, comment la réussir?

La haie de cèdre, comment la réussir?

Il y a quelques années, vous désiriez un petit coin bien à vous pour profiter de votre liberté à l’abri des regards parfois curieux des autres.  Bref, vous désiriez une intimité à l’abri des autres. Et vous avez pensé à une haie de cèdre. Et maintenant, les petits arbres ont grandi et commencent à envahir tout l’espace, ce que vous n’aviez pas prévu. Vous êtes à la recherche de solutions efficaces, adéquates qui ne risqueront pas de vous faire perdre l’investissement d’autrefois.

Nous sommes là pour vous aider, en vous exposant quelques pistes qui vous orienteront vers le bon choix dans ce que vous allez entreprendre face à votre haie de cèdre.

La haie de cèdre doit être élaguée à bon escient !

Votre cèdre est devenu assez volumineux, et il vous empêche, en ce début d’été, alors que vous vous abandonnez à la belle brise d’été dans votre jardin, de goûter au charme du paysage  estival. Et vous vous dites qu’il est temps d’élaguer cette haie de cèdre.

Si vos lilas ont fleuri, il est temps de vous atteler à la tâche. C’est vrai qu’il n’existe pas de date bien précise pour élaguer une haie de cèdre, mais on fixe cette tâche généralement au moment où les lilas achèvent leur floraison, vers le mois de mai, et cela se termine à la fête de la Saint-Jean Baptiste, autrement dit vers le 24 juin.

Maintenant, si vous examinez votre haie attentivement, vous allez découvrir qu’elle a 2 tonalités de vert : un vert sombre, et cela concerne la partie qui a repoussé les années antécédentes, et un vert plus clair pour les nouvelles branches.

Mais, si vous n’avez pas eu le temps de le faire pendant la saison vernale, ou que vous désirez les tailler à l’image d’une clôture bien rectiligne, vous pourriez aussi élaguer votre haie, à partir de la moitié du mois d’août, jusqu’au mois de septembre. Mais ne tardez pas plus, car la taille encourage la croissance des végétaux, et par conséquent, le froid de l’hiver qui suivra pourrait tuer les nouveaux bourgeons.

A quelle hauteur tailler la haie de cèdre ?

Comme tous les résineux, le cèdre ne peut pas produire de végétations neuves sur ce que l’on désigne par vieux bois, autrement dit les vieux branchages ou les troncs. Il est donc essentiel d’élaguer à l’endroit adéquat pour garder une haie cohérente et sans cavités. La nouvelle pousse des abiétacées se distingue par sa couleur vert clair, c’est dans cette zone que vous devez couper. Il faut enlever environ de 30 % à 50% au maximum de la végétation qui vient de pousser. Et pour que vous arriviez à bien maîtriser votre haie de cèdre, il faut la couper une fois par an.

Accorder une importance à la morphologie

Si vous souhaitez une haie végétale taillée verticalement, sachez que c’est faisable, mais, on ne vous le conseille pas.

Pour garantir une luminosité exemplaire à la haie, vous devez accorder une importance capitale à la forme. Donnez-lui plutôt une forme conique, évasée en bas et étroite au sommet. De cette manière, la lumière va couvrir toute la surface de la haie et elle garantira au cèdre une poussée exemplaire. De même, la base du cèdre demeurera bien dense pour vous  permettre d’être à l’abri des regards indiscrets, et de vous sentir détendu sur votre terrasse.

Il faut élaguer le faîte de cette palissade de cèdre en pointe, et non pas horizontalement. Sinon, l’hiver suivant, la masse de la neige l’endommagerait.

Comment nourrir notre haie de cèdre?

Après avoir terminé votre boulot de jardinier, il faudrait penser à  fertiliser votre haie. Au printemps, vous pouvez placer une pincée de compost à la base de votre haie de cèdre. Ce produit  leur donnera des minéraux indispensables à leur accroissement. Mais, faites très attention et n’ensevelissez pas le col des plants de la haie de cèdre. Essayez de fertiliser vos cèdres avant la mi-juillet car au-delà de cette période, une dose d’engrais, même minime aura le pouvoir  d’accélérer l’accroissement et de multiplier, ainsi le risque de voir apparaître des tiges brunes pendant la saison vernale suivante.

 

Sept trucs simplissimes pour économiser l’eau dans le jardin

Sept trucs simplissimes pour économiser l’eau dans le jardin

Si vous ne prenez le soin de faire attention, votre espace extérieur peut devenir un grand consommateur d’eau Exactement comme pour la salle d’eau ou la cuisinette, l’espace extérieur serait aussi un gros consommateur d’eau. Entre les fleurs, la pelouse et le potager, l’eau se vaporise à une vitesse vertigineuse, en un claquement de doigt, en quelque sorte.

Alors, si vous désirez économiser, il y toujours des solutions faciles

Truc n°1 : Le paillis

Couvrir le sol est une des méthodes des plus efficaces qui vous aidera à réduire les fuites d’eau causées par l’évaporation. En rempaillant vos plantations, vous économiserez 40% d’eau. Et le processus est très élémentaire : en paillant le sol vous le protégerez, puisque le paillis fait diminuer la température et conservera  l’humidité pendant un bon bout de temps. C’est une solution qui donne une certaine élégance à votre jardin, en plus elle est facile à réaliser et peu coûteuse.

Truc n°2 : pour la micro-irrigation, le GAG !

Vous vous demandez ce que cet acronyme pourrait signifier ? C’est ce qu’on appelle le goutte-à-goutte. En effet, l’irrigation classique, pour ne pas dire désuète, avec le loyal tuyau d’arrosage produisait un débit de l’ordre de 18 L à la minute, ce qui était beaucoup, même si quelques-uns avaient un pistolet pour contrôler cette fuite d’eau. Mais ce n’était pas la bonne solution.

On vous conseillera plutôt un système GAG,  ou alors un tuyau perméable qui aident à contrôler la quantité d’eau répartie en restreignant son écoulement. Vos plantes vont être gâtées.

Truc n°3 : Récupérateurs d’eau de pluie

Arroser le gazon, ou son jardin, ou encore remplir un bassin demandent de grandes consommations d’eau buvable. Pourquoi, alors ne pas aménager dans son jardin un système qui permettra de récupérer l’eau sans rien payer, en plus une eau potable et renouvelable ?  Selon l’usage, vous aurez le choix entre installer un collecteur, c’est plutôt un bassin aérien ou une citerne ensevelie dans la terre. Et c’est le même processus : l’eau de pluie est récupérée par des gouttières avant d’être réorientée vers le réservoir de récupération que vous aurez préféré.

Truc n°4 : avantager le binage

Le binage consiste à retourner peu profondément la terre sur approximativement 2 cm d’épaisseur. Cette manœuvre indispensable dans le jardinage permet au sol d’être plus accessible et mieux arrosé. En même temps, vous allez empêcher l’évaporation de l’humidité que contient le sol et, donc  vous allez irriguer moins.

Truc n°5 : Respectez les consignes d’arrosage de la ville

C’est valable à longueur d’année, beaucoup plus en été sans doute. En effet, arroser au petit  matin ou en soirée aide à diminuer l’évaporation de l’eau, car à ces moments-là, la terre est peu chaude. Les plantes interceptent davantage d’eau et supportent par conséquent mieux la canicule du jour.

Truc n°6 : éviter de nettoyer la voiture dans le jardin

Savez-vous que laver sa bagnole chez soi peut nous coûter jusqu’à deux cents L d’eau par voiture, alors que dans une station, c’est seulement 100 à 150 litres s’il s’agit d’un nettoyage aux rouleaux, et 50 à 60 L pour un nettoyage à haute pression. En allant dans une station de nettoyage pour laver votre bagnole, vous diminuerez  votre consommation et en plus votre sol ne sera pas exposé aux taches de carburant, ou de graisse.

Truc n°7 : parier sur un jardin économe en eau !

Vous savez sûrement que certaines plantations réclament moins d’eau pour pousser. C’est le cas des asperges, des carottes ou les pommes de terre qui sont des cultures plus sobres que les melons ou les tomates qui sont plus gourmands en eau. C’est également le cas des salades, des épinards ou les pois, des cultures de mi-saison qui tirent profit des giboulées du printemps et des pluies de l’automne pour un arrosage à moindre prix !

Arroser les plantes plutôt que les feuilles

Arroser les racines

Éviter l’arrosage par temps de pluie

Système d’irrigation efficace

Compost

Rediriger les gouttières

L’entretien de la pelouse

L’entretien de la pelouse

Vous venez de semer du gazon et vous désirez prendre soin de votre pelouse afin qu’elle reste toujours aussi attrayante et aussi jeune. Vous savez certainement que les herbes d’un gazon comme tout végétal s’épanouissent grâce à ces quatre éléments, à savoir : eau, air, lumière et nutrition. Cela leur permettra de se développer, et d’être en excellente santé. L’entretien de votre gazon consiste à lui procurer ces conditions “sine qua non” de sa survie. Une manière de lutter contre les indésirables, les herbes nuisibles.

Vous trouverez ci-dessous, les opérations à mener pour réussir une belle pelouse.

Tondre la pelouse à bon escient !

Vous voulez avoir une belle pelouse, agréable à voir,  veillez alors à la tondre fréquemment. Votre gazon n’en sera que plus magnifique.

De plus, vous mènerez la vie dure à ces herbes indésirables, de façon bio. Seulement choisissez le moment opportun, et la hauteur adéquate.

  1.    Couper au moment opportun

Coupez votre gazon une fois par semaine, pendant le printemps et en automne. Si vous avez une pelouse d’ornementation, tondez-la  tous les 3 jours, au minimum, et s’il s’agit d’une pelouse de golf, c’est chaque jour.

  1.    Tondre à la bonne hauteur

Plus vous tondez bas, plus il faut couper fréquemment !

La hauteur de tonte reste tributaire de l’espèce de votre gazon :

–         un gazon d’ornementation doit être coupé très bas, de un à trois centimètres.

–         un gazon de détente ou un green de golf est rasé à la hauteur de cinq cm. En effet, cette pelouse étant tout le temps piétinée, il vaudrait mieux veiller à ce que son gazon soit plus long, vous pouvez aller jusqu’à 10 centimètres.

En effet, un gazon coupé à ras du sol sera plus vulnérable face au trépignement, à la sécheresse.

Mais quelle que soit la situation, il ne faudrait pas aller au-delà du tiers de la hauteur du gazon à chaque tonte.

Arroser le gazon sans gaspillage

Il va de soi qu’une pelouse bien entretenue, magnifique exige qu’on l’irrigue de façon régulière. Mais essayez d’arroser peu mais bien. C’est une équation que vous devez respecter à bon escient, pour le bien de votre pelouse, et pour le vôtre aussi.

En effet, les arrosages trop répétés ne permettent pas aux racines de s’épanouir vers le bas pour chercher l’humidité, et conséquence fatale, votre pelouse deviendra extrêmement sensible à la sécheresse.

L’idéal serait que vous arrosiez le soir ou la nuit très copieusement entre quatre et cinq litres au mètre carré.

Dans plusieurs régions, une bonne irrigation par semaine suffit largement.

On remarque cependant que pendant la saison des chaleurs, certaines pelouses, sans arrosage, demeurent vertes tandis que d’autres dépérissent et perdent de leur entrain. Par conséquent, si vous vivez dans une région où il pleut rarement, optez, dès le départ pour un gazon rustique, pérenne, qui défierait la sécheresse.

Fertiliser la pelouse en toute saison !

Fertiliser régulièrement votre gazon est la méthode à adopter pour que votre pelouse se montre sous ses meilleurs atours: vous empêcherez ainsi de la voir dépérir précocement sous vos yeux. Pour cela, vous devriez la fertiliser de deux à trois fois par an.

Vous trouverez chez plusieurs détaillants des engrais composés, spécialement concoctés pour les pelouses, mais, n’oubliez pas que :

N désigne l’azote, P le phosphore et K le potassium.

Contre les mauvaises herbes, agissez promptement !

Les mauvaises herbes dans une pelouse sont le signe d’une maladie: elles laissent deviner une santé fragile et un entretien défectueux de votre gazon. Il est par conséquent plus que nécessaire de les arracher régulièrement, avec la technique adéquate.

Voici ce que vous devez savoir :

  •        arracher toute mauvaise pousse avant que les graines prolifèrent dans le nouveau gazon;
  •        employer un herbicide à rémanence brève (moins de 4 heures): asperger  ou vaporiser la couverture végétale ;
  •        utiliser plutôt les désherbants extraits à partir de glyphosate : Il est mieux aspiré par les feuilles et s’infiltre jusqu’à la souche ;
  •        traiter les mauvaises herbes par temps sec : suivez les bulletins météorologiques et ne le faites pas pendant qu’il pleut, car la pluie laverait les feuilles du produit pulvérisé.

Maintenez votre gazon en bonne santé

Une pelouse en mauvais état, étouffée, aura de la peine à s’alimenter et sera plus aisément truffée de mauvaises herbes. N’oubliez pas de scarifier et d’aérer votre pelouse pour garantir la longévité de votre gazon. Ainsi, enlevez, par exemple, les détritus de tonte et essentiellement les vieilles souches desséchées qui constitueront au fil des années un feutrage dense, nuisible tant à  l’aération du sol qu’à la nutrition du gazon.

Sinon, n’hésitez pas à renouveler votre pelouse, si vous jugez qu’elle est ancienne et qu’elle est réellement bourrée de mauvaises végétations, mais seulement après les avoir éradiquées complètement.

Sept astuces pour tuer les mauvaises herbes

Sept astuces pour tuer les mauvaises herbes

Les mauvaises herbes vous dérangent ? Et vous évitez comme la peste les herbicides, qui pourraient mettre en danger la santé de vos enfants, et la vôtre aussi. Vous êtes devant un dilemme, car la santé de votre jardin vous préoccupe aussi. Vous ne savez comment faire ? Vous êtes dans l’impasse.

Soyez sans crainte, nous allons vous proposer des astuces bios, très simples à faire. Des recettes de grand-mère ? Peut-être ! Mais efficaces. Jugez par vous-même :

  1.    À la main

Vous pouvez sarcler à l’ancienne : en les arrachant à la main. Utilisez des gants de jardin, tout en faisant attention à ne pas trimballer par négligence quelques germes de mauvaises herbes, ailleurs. Sinon, votre travail serait vain ! Utilisez une griffe ou alors une pelle acérée. Ces outils vous aideront à aller au fond des choses, à creuser profondément pour arriver aux racines. Ensuite, c’est simple, tirez sur la mauvaise herbe en déterrant totalement la racine. C’est la garantie qu’elle ne reprendra plus pied dans votre jardin.

  1. Avec du gluten de maïs

Cela va peut-être vous étonner, mais apprenez que le gluten de maïs peut arriver à stopper le développement des germes. Vous n’avez qu’à en saupoudrer votre jardin, et il arrêtera la germination des mauvaises herbes. Mais faites attention, le gluten arrêtera la germination de toutes les graines, et par conséquent, il faudrait éviter de le disperser partout dans votre verger, et essentiellement sur les bonnes graines. Assurez-vous d’abord que vos plantes sont bien implantées en terre pour en saupoudrer autour.

  1. Avec du paillis

Vous pouvez utiliser, aussi le paillis pour couvrir les parcelles à planter. De ce fait, les mauvaises graines ne pourront pas pénétrer dans le sol et, du coup elles ne germeront pas. Quant aux graines déjà enfouies, elles seront privées de lumière, élément vital pour leur développement, et ne pousseront pas: voilà donc une manière de s’en débarrasser.. Enfin, le paillis possède d’autres vertus très importantes. Il conserve l’humidité, et par conséquent, vous arroserez moins. En plus, sa décomposition  participe à l’enrichissement de votre sol. Et puis, il est plutôt agréable à voir. Bref, il y a tout à gagner avec le paillis.

  1. Avec du vinaigre blanc

A l’aide d’un vaporisateur, aspergez les mauvaises herbes avec du  vinaigre. Cependant, et pareillement aux autres désherbants bios, le vinaigre ne fait pas la différence entre les bonnes et les mauvaises plantes. Il est préférable de le vaporiser tôt le matin, et évitez les jours venteux, pour ne pas affecter les plantes qui sont à proximité. Essayez de le faire pendant une journée ensoleillée, et sans pluie car les propriétés désherbantes du vinaigre se trouvent accélérées grâce au soleil. Par conséquent, pendant une journée pluvieuse, le vinaigre sera inefficace.

  1. Avec du journal

Vous voyez que le journal possède une autre vertu insoupçonnée, inavouée. En effet, avec un journal, vous pouvez asphyxier les mauvaises herbes et bloquer la germination des nouvelles. Il suffit de recouvrir vos végétaux  avec du papier-journal, ce qui privera les mauvaises semences de lumière du soleil. Et, par conséquent, elles ne pourront pas pousser.

Il vous suffit d’arroser le sol, puis de couvrir de journal le pied des plantes. Imbibez le sol abondamment encore une autre fois, puis couvrez-le avec un paillis. Il s’avère que c’est une manière astucieuse de le recycler ! Et en plus vous inciterez les vers de terre à y trouver refuge. Cela est bon pour votre sol qui s’en trouvera renouvelé, étant donné que les vers jouent un rôle primordial dans l’aération de la terre.

  1. Avec de l’eau bouillante

Échauder les mauvaises herbes se révèle être une autre façon astucieuse de s’en débarrasser une fois pour toutes.

Avec votre bouilloire pleine d’eau bouillante, déversez un filet d’eau avec prudence sur la base de la plante importune. Pour les plantes très résistantes, avec des racines assez allongées et sinueuses, répétez l’opération 2 ou 3 fois et vous en viendrez à bout. Portez des gants, des pantalons longs et des bottes bien hermétiques et essayez d’éviter les giclées

  1. Avec du sel

Le bon vieux sel de table sert aussi à  détruire les mauvaises plantes. Il suffit de placer juste un peu de sel en bas de chaque plante. Vous en serez débarrassé, et en plus le sel sera dilué à la suite de quelques pluies.

Mais, là aussi, vous devez faire attention à ne pas trop en mettre , car le sel rend le sol incultivable pendant quelques mois. Et surtout n’en versez pas sur les bonnes plantes.

 

Les plantes vivaces

Les plantes vivaces

Une vivace est une plante herbacée qui pourrait vivre pendant des années. Cependant ses parties aériennes ne résistent pas à l’hiver,  alors que ses racines sont rustiques. Donc, au printemps, les vivaces apparaissent du sol, germent, s’épanouissent et fleurissent.

Si vous avez un verger de vivaces, il est normal que vous fournissiez beaucoup d’efforts, pour que votre jardin paraisse attrayant, splendide. Chaque plante doit être choisie avec soin, avec goût, pour que toute plate-bande forme un tableau harmonieux, en tenant compte de la hauteur des plantes, des couleurs, et de la texture des feuillages.

Vous devez, par la suite, classer chaque vivace en fonction de ses exigences en matière de sol et d’ensoleillement. Il faut aussi les terreauter, les répartir et enfin les tailler.

La coupe des vivaces  s’accomplit pour des raisons variées et à  différents moments. Cela pourrait expliquer pourquoi tailler les vivaces est si  complexe. En effet, chaque vivace possède son propre mode de croissance qu’il faudrait prendre en considération pendant le taillage.

Autrement dit, vous devriez les couper convenablement et au moment opportun à l’aide d’un sécateur, ou d’une cisaille.

Quand tailler les vivaces ? En réalité, on peut le faire deux fois par an :

  1.    Tailler à l’automne

Tailler des vivaces pendant l’automne serait apparemment très contesté: en effet, certains fleuristes choisissent de ne pas couper pendant cette saison afin que les branches desséchées préservent du froid les racines de la vivace. Cela permettrait, aussi aux insectes précieux pour le jardin de trouver refuge dans ces tiges.

Pour les adeptes de la taille d’automne, ils considèrent que c’est le moyen efficace d’extraire les vermines, les champignons, les insectes nocifs, afin de reconstruire son jardin de vivaces sur des bases solides.

Mais, nous pensons qu’on peut tenir compte des deux avis. Ainsi, par exemple, on peut  tailler les vivaces les plus vulnérables aux maladies comme les phlox, iris, … et celles dont le feuillage est dense comme les asters qu’on devrait couper très court à partir des premières gelées afin de conserver un port serré. Et d’un autre côté, on peut garder les tiges desséchées des vivaces qui formeront un beau spectacle harmonieux avec le givre hiémal tels les graminées, sédum, …

  1.    Tailler au printemps

Excepté en de rares exceptions, toutes les vivaces seront taillées, pendant cette saison au moyen de la cisaille, ou bien du sécateur. Cependant, Il faut entamer rapidement cette manœuvre avant que les nouvelles tiges ne commencent à pointer.

La taille de printemps est en en réalité l’occasion de nettoyer le feuillage desséché et les tiges défraîchies qui ont protégé la vivace pendant l’hiver.

La taille des plantes vivaces a plusieurs fonctions. Ainsi, pour les asters, les sauges, par exemple,  il serait intéressant de les resserrer afin de pousser les plantes à devenir denses et à se ramifier, mais ne tardez pas trop, sinon vous risquez de ne pas voir de fleurs.

Pour certains vivaces comme les : phlox, achillée… la taille entre avril et juin permet de repousser l’effloraison et de la faire perpétuer pour un bout de temps.

Curieusement, la taille de certaines vivaces se fait pour empêcher leur effloraison : ainsi pour la plante l’armoise, le feuillage est plus captivant, plus beau que ses fleurs banales, sans aucun attrait.

D’autres vivaces doivent être taillées après leur floraison pour empêcher leur reproduction: ce sont les vivaces qui ont tendance à être encombrantes.

Pendant le printemps et l’été, il est préférable que vous coupiez les vivaces  qui ont tendance à se développer vigoureusement (céraiste, vergerette) afin de stopper leur croissance  et avoir un beau paysage.

Comment tailler les vivaces ?

Les plantes vivaces font des fleurs, puis produisent des graines pour se reproduire, avant l’arrivée de l’automne puis l’hiver. C’est tout un cycle qu’on doit respecter. Par conséquent, quand vous arracherez les fleurs défraîchies, vous stopperez la multiplication de graines et vous privilégierez la croissance de nouvelles fleurs, du moment que la production des graines permet la pérennité de l’espèce ! Ainsi, la vivace continuera son fleurissement et en même temps son épanouissement. Pour réaliser ce challenge, n’oubliez pas de l’irriguer, de l’aérer, d’arracher les mauvaises herbes à son pied et de fertiliser la terre si cela est vital.

Il est aussi conseillé d’éradiquer tous les 2 jours, les fleurs flétries des plantes à fleuraison longue, c’est le cas de l’achillée, de l’œillet…

Les bienfaits du jardinage

Les bienfaits du jardinage

Gilles Clément disait que « celui qui s’occupe d’un jardin vit dans la surprise. Une surprise presque toujours heureuse, qui éloigne la nostalgie ou les sentiments négatifs ». N’est-ce pas vrai, dans ce monde parfois malveillant ? Le jardin ne serait-il pas un havre de paix, et une source de bonheur ?

Etre propriétaire d’un jardin est donc un véritable privilège dont les bienfaits sont innombrables, parfois insoupçonnés. Et si en plus, vous en réservez une partie pour en faire un potager, c’est encore plus merveilleux. Cela vous permettra de consommer des légumes ou fruits exquis, de saison, et bio. Mais ce n’est pas tout: d’autres avantages sont peut-être inavoués, mais combien extraordinaires. Rien ne vaut cette sensation qui nous saisit, nous imprègne, quand on passe à l’acte, en mettant la main à la pâte, ou plutôt dans la terre : irriguer fleurs ou légumes en prenant tout son temps, prendre soin du potager, bêcher, désherber. Le jardinage est donc une activité bénéfique, ludique. Nous vous en présenterons les cinq bienfaits les plus pertinents.

1- Bienfait ressenti : vivre le moment présent

Certains travaux en rapport avec le jardinage peuvent être assimilés à des moments de brefs recueillements. Quand on irrigue les fleurs, alors qu’on est debout, on peut se laisser aller et se trouver en état d’hypnose, imprégné par le murmure de l’eau qui coule, envahi par cette palette de couleurs sublimes que nous offre notre jardin. Un véritable tableau où tous nos sens sont en éveil.

Pour vivre ces émotions intenses, on vous proposerait bien d’arroser les fleurs, de les contempler, de sentir leur parfum, et de vivre pleinement le moment présent.

2- Bienfait ressenti : développer son potentiel créatif

Alors qu’on est accroupi devant le parterre de ses fleurs, notre esprit peut vagabonder et errer,  tourné vers le futur. Car pour créer un joli jardin, on a besoin d’un peu de rêves, pour imaginer ce qui n’est pas encore là. On invente à partir d’association d’images : photographies découvertes dans une revue, un jardin vu chez une amie, ou un style rocaille découvert dans un jardin botanique…Et on s’efforcera d’être plus imaginatif, plus entreprenant, de faire mieux, de s’amuser pleinement.

On pourrait vous suggérer de créer un jardin ou un potager, ou de restructurer une partie du terrain…

3- Bienfait ressenti : mettre sa patience à rude épreuve

Créer un jardin demande beaucoup de persévérance, de patience, d’imagination. Cela ne peut se faire en une matinée, ni même en une semaine! Il faut apprendre à être endurant et prévoyant. Habitué à voguer dans un univers au rythme terriblement accéléré, et où l’immédiateté devient la règle de vie, le jardinage rétablira l’équilibre et nous initiera aux vertus de la patience. Et du coup, on devient un peu plus serein.

Nous pourrons vous proposer de planter des graines au lieu de plants, de regarder les changements chez une fleur.

4- Bienfait ressenti : se libérer des émotions négatives

Jardiner est une manière de se défouler, de conjurer ses petits ennuis. Une occasion de faire une introspection, de se tourner vers soi pour une paix intérieure. Creuser, arracher les mauvaises herbes, arroser les belles plates-bandes éloignent de nous les mauvais karmas. Travailler son jardin soigne notre âme agressée par la vie trépidante que nous menons.

Nous vous recommandons pour atteindre cette félicité, pour retrouver la paix de l’âme les activités telles qu’arracher les mauvaises herbes, retourner la terre, etc.

5- Bienfait ressenti : valorisation de soi

Le jardinage nous permet de valoriser les tâches effectuées et d’en être fier. Vous ne pouvez pas imaginer ce bonheur qui vous saisira en voyant que vous avez excellé dans vos travaux, et que vous venez de réussir une belle fleur à partir de divers croisements que vous aurez effectués. Vous voilà au comble du bonheur. Ce succès ne peut être que bénéfique pour vous, car on a souvent tendance à être sévère avec soi-même, à être trop exigeant. Oui, cela demande du temps, mais laissons la nature faire son travail, et apprenez à être patient. Seule la patience paie.

On pourrait vous conseiller de montrer votre jardin à vos voisins ou vos  proches, ou de l’admirer chaque matin fièrement en sirotant votre café.

 

Conservez la fraicheur de votre maison tout l’été

Conservez la fraicheur de votre maison tout l’été

Bien que l’envie de passer du temps à l’extérieur soit irrésistible durant nos étés trop courts, nous désirons quand même que nos intérieurs soient confortables et agréables. Toutefois, ce n’est pas toujours facile durant les jours de canicule, même avec un climatiseur.

Pour aménager un environnement intérieur plus agréable pour votre famille et vos amis, suivez ces conseils offerts par Santé Canada :

Cuisinez plus simplement. Avec le retour du beau temps, qui veut passer des heures dans la cuisiner à préparer des repas lourds? Pour ne pas faire monter inutilement la température de la maison, cuisinez des repas qu’il n’est pas nécessaire de cuire au four.

Faites-vous de l’ombre. Si vous possédez une maison, plantez des arbres sur le côté où le soleil plombe durant les heures les plus chaudes de la journée. Les endroits ombragés peuvent être jusqu’à 5º C plus frais que les coins ensoleillés.

Faites travailler vos fenêtres. Regardez le thermomètre afin d’ajuster vos fenêtres et vos parures de fenêtres en fonction de la température. Pour bloquer le soleil, fermez les auvents, les rideaux ou les stores durant la journée. Profitez de la brise de la soirée et ouvrez vos fenêtres pour la nuit, si cela est sécuritaire, afin de laisser entrer l’air frais dans la maison.

Réglez votre climatisation. Si vous possédez un climatiseur, assurez-vous qu’il fonctionne bien avant le début de la saison. Sinon, trouvez un endroit climatisé à proximité de votre demeure où vous pouvez vous rafraichir durant quelques heures les journées de canicule. Ceci vous permettra de mieux traverser les périodes de grande chaleur.

Surveillez les prévisions et les alertes météorologiques de votre localité afin de vous préparer aux conditions climatiques plus difficiles.

Source: L’Édition Nouvelles