par fleursopave | Juil 14, 2021
La saison estivale est amorcée, les sorties extérieures sont plus fréquentes ainsi que le risque de contacts avec les animaux. La Direction de santé publique du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Lanaudière tient à rappeler à la population les comportements sécuritaires à adopter afin de prévenir le risque d’exposition au virus de la rage.
Ce virus se transmet généralement par la salive d’un animal infecté lors d’une morsure, d’une griffure ou d’un contact avec une plaie ouverte ou une muqueuse (bouche, nez, yeux).
Prévenir les morsures et la rage
- Évitez d’approcher, de toucher, de caresser, de nourrir ou de soigner des animaux inconnus, errants ou sauvages, même s’ils semblent inoffensifs.
- Gardez les chiens attachés ou en laisse dans un endroit à l’abri des animaux sauvages.
- Apprenez aux enfants les comportements sécuritaires à adopter envers les animaux et ne laissez jamais les jeunes enfants sans surveillance en présence d’un animal. Des outils éducatifs sont disponibles sur le Web.
- Empêchez les ratons laveurs, les mouffettes et les chauves-souris de s’approcher des habitations et des lieux abritant des animaux domestiques en bloquant les voies d’accès aux bâtiments et aux poubelles. Pour en savoir plus, consultez la page des Solutions dissuasives du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs.
Mesures à prendre si vous avez été mordu ou griffé par un animal ou si vous avez été possiblement en contact avec une chauve-souris :
- Même si la plaie vous semble sans gravité, nettoyez-la immédiatement à grande eau et au savon pendant 10 à 15 minutes. Lors de contact avec une chauve-souris, la plaie est souvent non visible, mais peut être à risque.
- Contactez rapidement le Service Info-Santé, en composant le 811, option 1. Il est important d’agir rapidement à la suite d’une morsure animale et avant l’apparition des symptômes, puisqu’il n’existe aucun traitement contre la rage. Il faut être vacciné rapidement pour prévenir l’apparition de la maladie. L’infirmière d’Info-Santé vous informera s’il est nécessaire que vous consultiez un professionnel de la santé.
Pour plus de renseignements sur la prévention des morsures animales et de la rage, consultez les sites et le document suivants :
Source : Direction de santé publique du CISSS de Lanaudière
par fleursopave | Juil 5, 2021
En période de chaleur, la baignade en eau libre est une activité particulièrement appréciée, mais s’informer de la qualité de l’eau avant de s’y baigner permet d’éviter des problèmes de santé.
Risques pour la santé d’une baignade en eau naturelle (lac, rivière, bassin naturel)
Les problèmes de santé les plus fréquents associés à la baignade en eau contaminée sont la gastro-entérite (diarrhée, crampes abdominales, nausées, vomissements) et les infections aux yeux, aux oreilles, au nez ou à la gorge, et de la peau (dermatite).
Conseils avant la baignade
Informez-vous de la présence possible de micro-organismes dans l’eau. On peut retrouver les informations sur la qualité de l’eau dans les lacs des différentes régions du Québec en consultant ce site :
https://www.environnement.gouv.qc.ca/programmes/env-plage/index.asp.
Sélectionnez des plages avec une cote de meilleure qualité bactériologique, c’est-à-dire celles qui sont classées A ou B.
Il faut s’abstenir de se baigner là où il y a de l’écume à la surface ou de l’eau d’apparence verte, surtout s’il y a une pancarte y interdisant la baignade.
Conseils pendant la baignade
Évitez d’avaler de l’eau. À la sortie de l’eau, essuyez-vous vigoureusement avec une serviette pour prévenir la dermatite du baigneur.
Mesures spéciales COVID-19
- Il n’y a pas de preuve que la COVID-19 est transmise via l’eau de baignade.
- Il ne faut pas fréquenter les lieux de baignade si vous êtes atteints de la COVID19, si vous êtes en isolement ou si vous présentez des symptômes de la COVID-19.
- Le partage de matériel de natation (lunettes, tuba, serviettes, flotteurs) avec d’autres personnes devrait être évité.
Il est déconseillé de se baigner dans les sites non aménagés et non surveillés adéquatement. Les jeunes enfants devraient être surveillés en tout temps par un adulte, afin de prévenir le risque de noyade.
Source : Centre intégré de santé et de services sociaux de Lanaudière
par fleursopave | Juin 28, 2021
En ce début d’été, l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) souhaite rappeler aux Canadiennes et Canadiens ce qu’ils peuvent faire pour protéger la santé des végétaux. Il est important de prévenir l’introduction et la propagation d’insectes, de plantes, de mollusques et de maladies envahissants pour le maintien des précieuses ressources végétales du Canada.
Les phytoravageurs envahissants sont plus actifs au Canada pendant les mois d’été. L’ACIA encourage les Canadiens à se joindre au mouvement pour la protection des végétaux et à aller en plein air cet été pour vérifier de façon proactive les arbres, les parcs et les jardins de leur collectivité. Vérifiez aussi les véhicules, l’équipement et les autres choses que vous avez entreposés à l’extérieur, surtout avant de traverser le pays ou la frontière, afin de ne pas rapporter des « invités » indésirables, comme la spongieuse européenne, les graines de mauvaises herbes et de la terre. Familiarisez-vous avec les ravageurs envahissants dans votre région et signalez les observations qui peuvent être nouvelles, comme le fulgore tacheté. Certains ravageurs, comme l’agrile du frêne, pourraient vous suivre si vous transportez du bois de chauffage. Lorsque vous partez en camping ou en voyage au chalet cet été, n’oubliez pas d’acheter ou de ramasser votre bois de chauffage à l’endroit où vous le brûlerez.
Chacun a un rôle à jouer dans la protection des forêts, de l’agriculture et de l’environnement du Canada. Les livres d’activités des héros de la santé des végétaux de l’ACIA sont une excellente façon de s’amuser et d’aider à enseigner aux enfants comment les plantes sont à la base de tous les êtres vivants.
La liste complète des ravageurs envahissants que l’ACIA surveille est disponible en ligne. Les fiches de renseignements sur les phytoravageurs et les cartes de phytoravageurs envahissants de l’ACIA fournissent plus de renseignements sur ce qu’il faut surveiller et ce qu’il faut déclarer. Signalez les insectes ou les dommages inhabituels aux arbres en utilisant le site Web ou les médias sociaux de l’ACIA ou au moyen d’applications comme iNaturalist et EDDmaps.
Les plantes sont la base de la vie. La célébration de l’Année internationale de la santé des végétaux a été une occasion extraordinaire pour les ministères, les organismes sans but lucratif et d’autres organisations de souligner l’importance de la protection des végétaux au cours des 18 derniers mois. En travaillant ensemble pour protéger la santé des végétaux, nous jetons les bases d’un avenir meilleur.
Citations
« Aider à prévenir la propagation des ravageurs envahissants au Canada est une chose que nous pouvons tous faire. Passez le mot sur la protection des plantes afin qu’ensemble, nous puissions protéger nos forêts, notre agriculture et notre sécurité alimentaire. Bien que l’Année internationale de la santé des végétaux soit terminée, nous tenons à exprimer notre appréciation renouvelée pour nos espaces verts, notre collaboration et la protection de nos ressources végétales. »
– L’honorable Marie-Claude Bibeau, ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire
« La protection des végétaux est essentielle au maintien de notre santé, de notre environnement et de notre économie. Au-delà de l’Année internationale de la santé des végétaux, chacun d’entre nous peut faire sa part pour empêcher la propagation des espèces exotiques envahissantes, dont celles qui menacent la santé des végétaux. En prenant dès maintenant des mesures pour lutter contre les phytoravageurs envahissants, nous pouvons soutenir la santé des végétaux et conserver la biodiversité au Canada. »
– L’honorable Jonathan Wilkinson, ministre de l’Environnement et du Changement climatique
Faits en bref
- L’Année internationale de la santé des végétaux a attiré l’attention du monde entier sur la nécessité de protéger la santé des végétaux pour aider à mettre fin à la faim, à réduire la pauvreté, à protéger l’environnement et à stimuler le développement économique. Elle a été prolongée jusqu’au 1er juillet 2021 en raison de la pandémie mondiale.
- Les Canadiens peuvent aider à protéger nos plantes de différentes façons :
- Le Canada, les États-Unis et le Mexique travaillent au sein de l’Organisation nord-américaine pour la protection des plantes (ONAPP) pour protéger la santé des végétaux en Amérique du Nord (en anglais et en espagnol seulement).
- L’ACIA, qui est l’organisation nationale pour la protection des végétaux du Canada, est responsable d’établir et de mettre en œuvre des règlements, des politiques et des programmes phytosanitaires qui sont conformes aux normes internationales et aux règles commerciales.
Liens connexes
SOURCE Agence canadienne d’inspection des aliments
par fleursopave | Juin 16, 2021
La Direction de santé publique de Lanaudière tient à rappeler à la population l’importance de se protéger contre les piqûres de tiques, car ces insectes peuvent transmettre la maladie de Lyme.
Situation pour Lanaudière
Les villes de Terrebonne et de Mascouche sont maintenant considérées comme zone à risque significatif d’acquisition de la maladie de Lyme. La carte présentant les secteurs à risque d’acquisition de la maladie de Lyme par municipalité est accessible en visitant le https://www.inspq.qc.ca/zoonoses/maladie-de-lyme.
Nombre de cas dans la région
Au cours des deux dernières années, 17 des 29 cas de maladie de Lyme qui ont été déclarés à la Direction de santé publique étaient d’acquisition probable dans la région.
Les tiques porteuses de la maladie de Lyme
La maladie de Lyme est transmise par la piqûre de la tique à pattes noires, si celle-ci est porteuse d’une bactérie nommée Borrelia burgdorferi. Une tique adulte peut mesurer entre 1 et 3 millimètres.
On les retrouve principalement dans les hautes herbes et les autres végétaux sur le sol, où elles attendent pour s’agripper à la peau. Dans les heures qui suivent, elles se gorgent de sang, pouvant tripler leur volume. La tique a alors l’apparence d’une boule de sang de quelques millimètres. Si une piqûre survient, il faut retirer la tique. Pour savoir comment retirer une tique accrochée à la peau de façon sécuritaire et pour connaître les recommandations à la suite de son retrait, rendez-vous au https://www.quebec.ca/sante/conseils-et-prevention/sante-et-environnement/retraitdune-tique-en-cas-de-piqure.
Un antibiotique peut alors être prescrit en prévention pour éviter de contracter la maladie de Lyme si vous avez eu une piqûre de tique dans les zones identifiées à risque. Certains critères doivent être respectés pour avoir accès à ce traitement préventif. Pour plus informations, composez le 811 ou consultez votre médecin de famille.
Manifestations cliniques
La personne qui se fait piquer par une tique peut remarquer une rougeur sur la peau qui peut prendre la forme d’une cible. Cela cause peu ou pas de douleur, ni de démangeaison et dure au moins 2 jours. Entre 3 et 30 jours à la suite de la piqûre de la tique, la fièvre, des maux de tête, de la fatigue et des courbatures peuvent survenir.
Lorsque détectée à un stade précoce, l’infection se traite à l’aide d’antibiotiques. Si elle n’est pas détectée et traitée rapidement, des complications peuvent survenir, comme des problèmes cardiaques, neurologiques et articulaires. Ils sont parfois irréversibles.
Pour en savoir davantage sur les symptômes de la maladie de Lyme et pour savoir quand consulter, visitez le www.quebec.ca/sante/problemes-de-sante/a-z/maladie-delyme.
Moyens de protection lors d’activités à l’extérieur
Pour mieux se protéger des piqûres, voici des habitudes à adopter :
- Marcher de préférence dans les sentiers et éviter les herbes hautes;
- Utiliser un chasse-moustiques sur les parties exposées du corps;
- Porter un chapeau, des souliers fermés ainsi que des vêtements de couleur claire;
- Entrer son chandail dans son pantalon et le bas de son pantalon dans ses chaussettes ou ses bottes;
- Au retour d’une activité à l’extérieur, examiner vêtements et équipement, et inspecter son corps dans la douche ou dans son bain. Ne pas oublier les animaux de compagnie;
- Éviter l’accumulation de feuilles mortes et de broussailles sur votre terrain;
- Couper les herbes hautes et tondre le gazon régulièrement;
- Aménager les aires de jeux des enfants loin des arbres, car les tiques préfèrent les endroits boisés;
- Si une tique s’est accrochée à la peau, la retirer minutieusement avec une pince fine, en évitant de presser son corps. Consulter rapidement si vous demeurez en zone à risque.
La prévention des piqûres de tiques et la surveillance de l’apparition de symptômes demeurent primordiales pour prévenir la maladie de Lyme. Pour toute question si vous présentez des symptômes de la maladie de Lyme après avoir été exposé à des tiques, composez le 811, option 1, pour communiquer avec Info-Santé ou communiquez avec votre médecin de famille.
Source : Centre intégré de santé et de services sociaux de Lanaudière
par fleursopave | Juin 9, 2021
Le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs a décidé de modifier l’interdiction de faire des feux à ciel ouvert en forêt ou à proximité. Cette décision, prise en collaboration avec la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU), entraîne donc la modification du territoire touché par l’interdiction de faire des feux à ciel ouvert en forêt ou à proximité. Compte tenu des conditions météorologiques qui ont évolué dans le sud du Québec, la mesure sera modifiée à compter du 9 juin à 18 h.
Les secteurs maintenant visés par cette mesure correspondent aux MRC et territoires suivants :
NORD-DU-QUÉBEC : Jamésie (991) – au sud de la latitude 51º, Eeyou Istchee (Waswanipi, Mistissini, Oujé-Bougoumou) (993).
CÔTE-NORD : La Haute-Côte-Nord (95), Manicouagan (96) et Sept-Rivières (971) – au sud de la latitude 51º.
SAGUENAY-LAC-SAINT-JEAN : Le Domaine-du-Roy (91), Maria-Chapdelaine (92) – au sud de la latitude 51º, Lac-Saint-Jean-Est (93), Saguenay (941), Le Fjord-du-Saguenay (942) – au sud de la latitude 51º.
ABITIBI-TÉMISCAMINGUE : Témiscamingue (85), Rouyn-Noranda (86), Abitibi-Ouest (87), Abitibi (88), La Vallée-de-l’Or (89).
MAURICIE : Mékinac (35), Shawinigan (36), Trois-Rivières (371), Les Chenaux (372), Maskinongé (51), La Tuque (90).
CAPITALE-NATIONALE : Charlevoix-Est (15), Charlevoix (16), L’Île-d’Orléans (20), La Côte-de-Beaupré (21), La Jacques-Cartier (22), Québec (23), Portneuf (34).
BAS-SAINT-LAURENT : La Matapédia (07), La Matanie (08), La Mitis (09), Rimouski-Neigette (10), Les Basques (11), Rivière-du-Loup (12), Témiscouata (13), Kamouraska (14).
GASPÉSIE-ÎLES-DE-LA-MADELEINE : Le Rocher-Percé (02), La Côte-de-Gaspé (03), La Haute-Gaspésie (04), Bonaventure (05), Avignon (06).
OUTAOUAIS : Papineau (80), Gatineau (81), Les Collines-de-l’Outaouais (82), La Vallée-de-la-Gatineau (83), Pontiac (84).
LAURENTIDES : Deux-Montagnes (72), Thérèse-De Blainville (73), Mirabel (74), La Rivière-du-Nord (75), Argenteuil (76), Les Pays-d’en-Haut (77), Les Laurentides (78), Antoine-Labelle (79).
LANAUDIÈRE : D’Autray (52), L’Assomption (60), Joliette (61), Matawinie (62), Montcalm (63), Les Moulins (64).
CHAUDIÈRE-APPALACHES : L’Islet (17), Montmagny (18), Bellechasse (19), Les Etchemins (28).
Consultez la carte du territoire visé ici.
Présentement, 14 incendies sont en activité au Québec. Depuis le début de la saison de protection, 323 incendies de forêt ont touché 2262,4 hectares. La moyenne des dix dernières années à la même date est de 189 feux pour une superficie de 3448,4 hectares.
La collaboration de tous est essentielle pour que l’interdiction de faire des feux à ciel ouvert en forêt soit respectée. Cette mesure a pour but de limiter les risques d’incendie de forêt. Rappelons qu’en vertu de l’article 239 de la Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier (chapitre A-18.1), quiconque contrevient à une ordonnance d’interdiction de faire des feux à ciel ouvert en forêt ou à proximité de celle-ci ou de toute autre mesure rendue par le ministre est passible, outre le paiement des frais, d’une amende.
Source : Service de la prévention et des communications de la Société de protection des forêts contre le feu
par fleursopave | Mai 29, 2021
Les eaux canadiennes sont souvent plus froides qu’on le pense et peuvent être particulièrement dangereuses si l’on tombe à l’eau. La prévention est en fait le meilleur plan à adopter si l’on veut naviguer en toute sécurité.
Le fait de porter votre gilet de sauvetage ou votre vêtement de flottaison individuel pourrait vous sauver la vie. Si le pire devait arriver et que vous vous retrouviez dans l’eau froide, vous devez absolument savoir quoi faire. Pour survivre dans ces conditions, rappelez-vous de la règle du « 1-10-1 ».
1 minute – l’état de choc
L’état de choc est une réaction involontaire qui se produit lorsqu’une personne tombe dans l’eau froide (moins de 15 °C). Le souffle coupé et une respiration profonde sont les premiers effets. Vous devez absolument garder la tête hors de l’eau pour pouvoir maîtriser votre respiration et éviter d’avaler de l’eau. Pendant environ une minute, votre respiration sera rapide et haletante. Vous devez alors tenter de rester calme et reprendre votre souffle.
10 minutes – la motricité
Vous disposez d’environ 10 minutes pendant lesquelles vous pouvez encore bouger avant de lentement perdre votre motricité dans l’eau. Dès que vous avez repris votre souffle, utilisez ces minutes pour vous sortir de l’eau. Ne nagez que si vous pouvez atteindre d’autres personnes, la sécurité du rivage ou un objet auquel vous accrocher.
Si l’embarcation est tout près, essayez d’y monter. Si c’est impossible, essayez de vous accrocher à la partie la plus élevée du bateau pour pouvoir maintenir la plus grande partie du corps hors de l’eau. Cette position vous aidera à conserver votre chaleur et vous serez plus visible pour les sauveteurs.
1 heure – l’hypothermie
Après environ une heure, les signes d’hypothermie commencent à se manifester. Si vous ne pouvez pas sortir de l’eau dans les 10 premières minutes, il faut à tout prix retarder l’hypothermie. Si vous êtes avec d’autres personnes, collez-vous les uns contre les autres pour vous réchauffer, ou sinon, relevez les cuisses près des bras pour limiter la perte de chaleur. Plus vous retardez l’hypothermie, plus vous disposez de temps pour appeler à l’aide et meilleures sont vos chances de survie.
Pour en savoir plus sur la sécurité nautique, consultez le site Web du Bureau de la sécurité nautique de Transports Canada à l’adresse suivante : tc.gc.ca/securitenautique.
Source: L’édition Nouvelles
par fleursopave | Mai 22, 2021
Avec l’été arrivent les épisodes de canicule dans bien des régions du pays. Au cours des 30 prochaines années, le nombre de jours de chaleur accablante par année fera plus que doubler dans certaines parties du Canada. Cette chaleur peut présenter un risque pour la santé si l’on ne prend pas de précautions. Voici quelques conseils importants pour survivre à ces températures.
1. Sachez à quels risques vous êtes exposé.
Les adultes âgés, les jeunes enfants, les personnes qui ont une maladie chronique, sont isolées socialement ou vivent dans la pauvreté, ainsi que les personnes qui travaillent à l’extérieur, ont souvent plus de risque de développer une maladie liée à la chaleur. Si vous prenez des médicaments, consultez votre médecin de famille ou votre pharmacien pour connaître votre niveau de risque.
2. Vérifiez votre climatiseur.
Si vous possédez un climatiseur, assurez-vous qu’il fonctionne correctement avant l’arrivée des premières chaleurs.
3. Portez des vêtements appropriés.
Par temps chaud, portez des vêtements amples, de couleur pâle et faits de tissu perméable à l’air.
4. Évitez la chaleur de la mi-journée.
Les rayons ultra-violets et les températures sont souvent à leur maximum entre 11 h et 15 h. S’il fait très chaud, réorganisez vos activités extérieures ou reportez-les aux heures où il fait moins chaud dans la journée.
5. Hydratez-vous.
Buvez beaucoup de boissons fraîches, surtout de l’eau, avant d’avoir soif. Rappelez-vous que la soif n’est pas un bon indicateur de déshydratation.
6. Prenez des repas froids.
Évitez d’utiliser le four ou d’autres appareils qui contribuent à réchauffer la maison. Préparez des plats froids, comme des salades de légumineuses nourrissantes, ou cuisinez sur le barbecue à l’extérieur.
7. Ouvrez les fenêtres.
S’il n’y a pas de danger à le faire, ouvrez les fenêtres la nuit lorsque le soleil est couché pour laisser entrer de l’air frais dans la maison.
8. Gardez contact avec les autres.
Faites en sorte de communiquer régulièrement avec les membres de la famille, les voisins ou les amis lorsqu’il fait très chaud au cas où quelqu’un, vous ou une autre personne, auriez besoin d’aide. Rappelez-vous simplement de suivre les consignes de santé publique qui sont en vigueur dans votre région.
9. Prenez une pause.
Si la maison est extrêmement chaude, allez passer quelques heures dans un endroit frais, comme dans un lieu ombragé ou à la bibliothèque municipale.
Quelle que soit la stratégique que vous adopterez, surveillez toujours la présence de symptômes d’une maladie liée à la chaleur. Ce sont notamment les étourdissements ou l’évanouissement, les nausées ou les vomissements, les maux de tête, ou une respiration et un rythme cardiaque rapides. Si vous présentez l’un de ces symptômes par temps très chaud, allez sans tarder dans un endroit frais et buvez de l’eau.
Composez immédiatement le 911 ou le numéro d’urgence de votre localité si une personne dont vous vous occupez est inconsciente, désorientée ou ne transpire plus, ou si sa température corporelle est élevée.
Pour en savoir plus, consultez le site Canada.ca/sante
Source: L’édition Nouvelles
par fleursopave | Mai 15, 2021
Il fait parfois extrêmement chaud en été au Canada. Les températures très élevées sont particulièrement dangereuses pour les bébés et les jeunes enfants. En effet, les jeunes enfants présentent une plus grande surface de peau par rapport à leur masse corporelle que les adultes, ce qui fait que les coups de soleil peuvent être très graves. Voici quelques conseils et astuces pour vous aider à garder votre enfant au frais et en santé malgré la chaleur :
Se préparer
Consultez les prévisions météorologiques et l’indice UV avant de planifier des activités extérieures avec les tout-petits. Puisque les rayons du soleil sont au plus fort entre 11 h et 15 h, évitez de laisser les enfants au soleil durant cette période. Planifiez la tenue des activités extérieures lorsqu’il fait moins chaud dans la journée.
Se protéger
Lorsque votre enfant sort au grand soleil, faites-lui porter un chapeau aéré et à large bord, ainsi que des verres fumés, et mettez-lui des vêtements en tissu perméable à l’air ou appliquez un écran solaire sur sa peau. Habituez vos enfants à utiliser de la crème solaire le plus tôt possible, surtout sur le visage, les lèvres, les oreilles, les genoux et le dessus des pieds.
S’hydrater
Pour prévenir la déshydratation, donnez à votre enfant beaucoup de liquides frais à boire, surtout de l’eau, avant même qu’il ait soif. Laissez un verre de couleur vive près de l’évier et rappelez-lui de boire après chaque lavage de mains. Aussi, incitez-les à boire de l’eau avant et après avoir fait une activité physique.
Se rafraîchir
S’il fait très chaud dans la maison, évadez-vous de la chaleur et amenez votre enfant dans un endroit frais pour quelques heures. Ce peut être un espace à l’ombre des arbres, une aire de jeux d’eau, un centre commercial ou la bibliothèque publique. Rappelez-vous simplement de vérifier les consignes de santé publique de votre région et informez-vous sur les endroits qui sont ouverts avant de vous y rendre.
Être vigilant
Surveillez les symptômes de maladies liées à la chaleur chez votre enfant, notamment des maux de tête, une respiration et un rythme cardiaque rapides, une soif extrême et une miction moins fréquente avec une urine anormalement foncée. Si vous observez l’un de ces signes lorsqu’il fait très chaud, amenez immédiatement l’enfant dans un endroit frais et donnez-lui à boire.
Si la température corporelle de l’enfant est élevée ou s’il est inconscient, désorienté ou ne transpire plus, composez immédiatement le 911 ou le numéro en cas d’urgence de votre localité.
Pour en savoir plus, consultez le site Canada.ca/sante.
Source: L’édition Nouvelles
par fleursopave | Mai 8, 2021
L’un des plus grands plaisirs de l’été est de se retrouver dans la nature, surtout si l’on a accès à un lac, à un océan ou à un autre plan d’eau. Cependant, comme il y a de plus en plus de personnes qui vont se réfugier en pleine nature en raison de la pandémie, les noyades sont à la hausse. Il est donc important de redoubler de prudence.
Voici d’importants conseils de sécurité à garder en tête lorsque vous vous baignez :
Trouvez l’endroit approprié
Choisissez un endroit sécuritaire pour la baignade, une plage surveillée par exemple. Si vous vous baignez dans un lac ou à une plage sans sauveteur, assurez-vous de toujours avoir un « signaleur désigné » sur le rivage qui pourra appeler à l’aide si vous vous retrouvez en difficulté.
Portez un équipement adéquat
Assurez-vous que les jeunes enfants et les piètres nageurs portent toujours un gilet de sauvetage approuvé ou un vêtement de flottaison individuel quand ils s’amusent dans l’eau ou près de l’eau. Surveillez étroitement les enfants, même ceux qui disposent d’un équipement comme des flotteurs pour les bras, des sièges flottants, ou autres.
Examinez les conditions en vigueur
Vérifiez les avis de santé et de sécurité auprès de votre municipalité avant de vous lancer dans l’eau. Voyez aussi si des avertissements sont émis concernant les niveaux de pollution de l’eau ou la puissance du courant.
Prenez des cours
Aidez les enfants à connaître les notions de sécurité sur l’eau en les inscrivant à un cours de natation et de sécurité aquatique. Les parents, les adultes et les autres adolescents peuvent aussi s’inscrire à une formation en premiers soins pour apprendre les techniques de base de secourisme.
Sachez quoi faire en cas d’urgence
Composez toujours le 911 si une personne est en difficulté dans l’eau ou si vous l’avez perdue de vue. Les partenaires régionaux ainsi que le programme de recherche et de sauvetage de la Garde côtière canadienne peuvent aider les personnes qui se trouvent en danger imminent dans l’océan, dans les Grands Lacs et dans le fleuve Saint-Laurent. L’objectif premier de la Garde côtière est de sauver toutes les vies en danger. Le délai de réaction des équipes est de 30 minutes ou moins pendant la saison d’activité.
Vous trouverez d’autres renseignements sur ccg-gcc.gc.ca/index-fra.html.
Source: L’édition Nouvelles