Plante d’intérieur :  L’Aloe

Plante d’intérieur : L’Aloe

Mettez sur la table un peu d’histoire naturelle vivante avec l’Aloe, dinosaure parmi les plantes d’intérieur redevenues tendance en raison de son caractère robuste et ancestral.

Nombre d’or, la perfection à l’état naturel
Une rosette stylisée avec des feuilles qui peuvent varier du gris argenté au vert foncé : l’Aloe est une plante caractéristique qui nous gratifie parfois d’une magnifique fleur. Les feuilles peuvent être lisses ou dentelées et sont construites dans le respect du nombre d’or. Une règle mathématique mystérieuse et très ancienne qui débouche sur les proportions les plus agréables à regarder. L’Aloe a de ce fait une personnalité impressionnante dans la maison, enraciné dans la préhistoire.

Symbolique verte 
La puissance immuable de l’Aloe en fait un élément de choix pour le nouveau style d’habitat où la vie végétale prend dans les intérieurs une place de plus en plus prépondérante. L’Aloe est adapté au jardin miniature mais aussi aux grandes scènes intérieures, apporte de la couleur à la nature vivante, séchée et pétrifiée et présente exactement les formes organiques et symboliques qui suscitent l’imagination et peuvent faire du salon une oasis particulière. L’Aloe se combine parfaitement dans ce style avec les matériaux naturels tels que la pierre, la céramique et les pots aux motifs tachés naturels.

L’Aloe, filtre à air 
L’Aloe est selon une étude de la NASA un excellent agent de purification de l’air. La plante extrait de l’air les substances nocives telles que le benzène et le formaldéhyde, souvent dégagés par la peinture et les détergents chimiques. La plante produit de l’oxygène la nuit et absorbe le dioxyde de carbone, elle est donc idéale pour un sommeil réparateur.

Soins à apporter à l’Aloe 
● L’Aloe aime être en plein soleil et a horreur des endroits sombres, hormis un peu d’ombre.
● La plante est extrêmement facile : un peu d’eau toutes les deux semaines suffit amplement.
● La seule chose dont l’Aloe ait vraiment horreur, ce sont les bains de pieds. La motte peut légèrement se déshydrater entre deux arrosages.
● L’Aloe pousse avec enthousiasme et réclame tous les deux ans un pot plus grand.

Plante ornementale robuste 
L’Aloe est originaire d’Afrique et on le trouve sur tout le continent ainsi que sur la péninsule arabique. Il est de la famille des plantes grasses fleuries, qui compte plus de 400 variétés. En milieu naturel, il peut prendre d’énormes proportions et survit dans les endroits les plus difficiles, pourvu qu’il soit au chaud et au sec.

À savoir sur l’Aloe 
● En sanscrit, Aloe est un mot qui signifie « déesse ».
● Ce nom est probablement dérivé de l’arabe « alloeh » qui signifie « amer » et évoque la saveur du jus qui sort des feuilles.
● L’Aloe n’est pas seulement une plante d’intérieur spéciale mais aussi un compagnon parfait dans le patio pour créer une ambiance méditerranéenne dans le jardin. Il convient de le rentrer l’hiver car il ne supporte pas le froid.
● L’Aloe vera est connu pour ses propriétés médicinales, le jus laiteux qui sort des feuilles coupées était utilisé par les Grecs et les Romains pour refroidir les plaies occasionnées par des brûlures.
● L’Aloe est symbole de guérison car la plante est capable de se guérir elle-même et de revenir à la vie même lorsqu’elle semble totalement perdue.

Source: Maplantemonbonheur.fr | L’Office Hollandais des Fleurs

3 choses à faire pour avoir une meilleure pelouse

3 choses à faire pour avoir une meilleure pelouse

Une pelouse en bonne santé est une belle façon d’ajouter de la valeur à votre propriété et de créer un espace agréable pour les divertissements en plein air. De plus, la pelouse améliore l’environnement en filtrant l’eau de pluie, en attirant les oiseaux et les insectes désirables, et en absorbant la pollution.

Un entretien régulier et une surveillance attentive des problèmes potentiels sont des moyens de valoriser votre oasis personnelle, tout en contribuant à la beauté et à la vitalité de l’environnement urbain. Voici quelques conseils pour vous aider à faire de votre espace extérieur l’un des plus beaux du quartier :

Tondre haut
Il est préférable de tondre le gazon à une hauteur de 6 à 8 cm (2,5 à 3 po), ce qui favorise le développement d’un système racinaire robuste et décourage la croissance des mauvaises herbes.
Il est également judicieux d’alterner votre schéma de tonte et de tondre assez souvent pour ne pas enlever plus d’un tiers des brins d’herbe.

Surveiller les ravageurs
Il n’est pas inhabituel que les jardins soient menacés par des insectes, des mauvaises herbes et des maladies. Un petit nombre d’insectes ou de mauvaises herbes n’est pas inquiétant, et si vous détectez un problème avant qu’il devienne incontrôlable, vous en viendrez à bout plus aisément.

Les pesticides urbains peuvent aider à gérer ces menaces et à garder des espaces extérieurs sains et agréables. Ils sont offerts dans des formulations spécialement conçues pour être utilisées par les particuliers. Les produits que l’on trouve sur les tablettes des magasins sont approuvés par Santé Canada avant d’être mis à la disposition des consommateurs afin de s’assurer qu’ils sont sans danger pour les personnes, les animaux domestiques et l’environnement.

Arroser tôt et en profondeur
Le meilleur moment pour arroser votre pelouse est tôt le matin, car vous perdrez moins d’eau par évaporation. Si vous arrosez le soir, vous exposez davantage votre pelouse aux maladies.

Essayez d’arroser en profondeur 1 à 3 fois par semaine au lieu de tous les jours. Cela favorisera la croissance des racines en profondeur et aidera votre pelouse à survivre dans des conditions de sècheresse. Veillez à respecter les restrictions d’arrosage qui peuvent être en vigueur dans votre quartier.

Source: L’édition Nouvelles

Plante de jardin: la Véronique arbustive

Plante de jardin: la Véronique arbustive

La Véronique arbustive ou Hebe est la plante idéale pour redonner du tonus à la terrasse et au jardin en fin d’été. Ses fleurs blanches, violettes, roses ou lilas donnent une nouvelle énergie de façon générale, et la couleur de la feuille de la Véronique arbustive varie du vert clair au vert foncé, voire au gris très clair. En hiver et au printemps, certaines variétés ont même une feuille rouge-violet. Grâce à sa structure un peu tortueuse, la plante a un air décontracté et naturel et ses grappes de fleurs sont très appréciées des abeilles et des papillons. La Véronique arbustive a de nombreux talents et est souvent utilisé pour les plates-bandes, les rocailles ou au bord de pièces d’eau, mais il peut aussi être planté en jardinière pour orner la terrasse ou le balcon. La Véronique arbustive reste toujours vert et met de la couleur et la vie dans le jardin toute l’année.

Assortiment
L’assortiment d’Hebes peut être réparti en deux groupes :

  • Le plus grand se compose de variétés souvent vivaces, aux feuilles décoratives et toujours vertes. Les variétés les plus connues sont l’Hebe « Emerald Gem » ou « Green Globe », l’Hebe ochracea « James Stirling », l’Hebe « Autumn Glory », l’Hebe pimeleoide, l’Hebe buxifolia et l’Hebe pinguifolia.
  • Totalement différent, l’Hebe andersonii. Cette variété fleurit à la fin de l’été et se vend surtout début novembre (pour la Toussaint).

À savoir sur la Véronique arbustive 

  • La Véronique arbustive, officiellement l’Hebe, originaire de Nouvelle-Zélande, a été introduit en Europe en 1835. Les cultivars qui en dérivent ont été rendus résistants à l’hiver par les croisements successifs.
  • Hébé, déesse de la jeunesse, est dans la mythologie grecque la fille de Zeus et d’Héra. Elle fut donnée en mariage à Héraclès.
  • La Véronique arbustive résiste relativement bien à l’air salé et constitue ainsi une plante idéale pour les jardins et balcons en bord de mer.

Origine 
La Véronique arbustive est originaire de l’hémisphère Sud, surtout la Nouvelle-Zélande, mais aussi la Polynésie française, les îles Malouines et l’Amérique du Sud. Il en existe environ 30 variétés assez résistantes : la plante pousse aussi bien sur la côte que dans les régions montagneuses à haute altitude, même si elle a, alors, des feuilles plus petites.

Points à examiner lors de l’achat d’une Véronique arbustive

  • Vérifiez la proportion entre la taille du pot, le diamètre de la plante, la quantité de boutons et l’absence de maladies et plaies.
  • En fonction de la variété, la plante est cultivée aussi bien sous serre qu’en plein champ. Les horticulteurs veillent à ce que la Véronique arbustive cultivé à l’extérieur soit livré dans un pot propre.
  • Plus la plante est grande, plus elle a de valeur décorative, et plus elle est un compagnon facile.
  • À l’achat, aucune partie de la plante ne doit être morte ou déshydratée.

La Véronique arbustive marque un nouveau départ dans le jardin : il commence à fleurir alors que la majorité des plantes termine, et il continue jusqu’à tard dans l’automne. Cela en fait la plante idéale pour les vacanciers qui cherchent à leur retour un peu d’animation et de joie dans leur jardin ou sur leur balcon.

Conseils de soins 

  • La Véronique arbustive aime être en plein soleil, mais il se plaît aussi dans les endroits semi-ombragés.
  • La plante aime les sols bien aérés et riches en humus.
  • L’eau doit pouvoir s’écouler et la motte peut légèrement se déshydrater entre deux arrosages.
  • Durant la floraison, donnez de l’engrais deux fois par mois et retirez les fleurs fanées.
  • La Véronique arbustive résiste assez bien à l’hiver, mais il vaut mieux la protéger en cas de grosses gelées, surtout si la plante est en jardinière. L’Hebe andersonii préfère passer l’hiver à l’abri du gel.
  • Après l’hiver, tailler la Véronique arbustive permet à la plante de rester belle et vigoureuse.
Agir à la mi-juillet et à la mi-août pour contrer les effets du pollen de l’herbe à poux!

Agir à la mi-juillet et à la mi-août pour contrer les effets du pollen de l’herbe à poux!

La Direction de santé publique du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Lanaudière rappelle que chaque année, plusieurs milliers de Lanaudois souffrent d’allergies saisonnières. La plus fréquente est la rhinite allergique, communément appelée fièvre ou rhume des foins. C’est le pollen de l’herbe à poux, produit de la mi-juillet à octobre, qui cause cette allergie. En contrôlant la plante et son pollen, on améliore l’état de santé de nombreuses personnes et on leur permet d’avoir une meilleure qualité de vie au quotidien.

Symptômes

Les symptômes d’allergie à l’herbe à poux sont surtout ressentis au niveau du nez et des yeux : picotements, éternuements répétitifs, congestion et écoulement nasal, etc. Des problèmes respiratoires peuvent aussi apparaître et l’asthme peut s’aggraver chez les personnes qui en souffrent déjà. Pour en savoir plus sur le rhume des foins et sur les moyens de protection et de prévention, consultez la section Rhume des foins du site Québec.ca. Si vous avez des questions à propos de votre santé, peut-être en lien avec le pollen de l’herbe à poux, composez le 811 pour communiquer avec Info-Santé. Si les symptômes viennent à s’aggraver ou s’ils nuisent énormément aux activités quotidiennes et à la qualité de vie, une consultation médicale peut devenir nécessaire.

Deux moments clés : la mi-juillet et la mi-août

L’herbe à poux se déracine bien, à la main, sans protection particulière; vous pouvez l’arracher ou la tondre dès que vous la voyez. Il est recommandé de tondre les plants d’herbe à poux à deux moments clés : une première tonte à la mi-juillet, pour empêcher la première production de pollen, et une deuxième à la mi-août, pour éviter la repousse et une seconde floraison. Il est préférable de jeter les plants arrachés et coupés à la poubelle, car les graines d’herbe à poux pourraient « contaminer » le compost et reprendre le cycle. Il est important de savoir que l’herbe à poux est une plante annuelle : la couper une seule année réduira le pollen dans l’air cette année-là seulement. Il faut donc que l’entretien de l’herbe à poux se fasse de façon répétée, annuellement, pour obtenir un contrôle efficace.

Endroits à cibler

Il faut d’abord agir près des habitations, car la majeure partie du pollen ne voyage pas au-delà de 800 mètres. Il faut également prioriser les terrains de prédilection pour cette

mauvaise herbe : le long de l’accotement des routes asphaltées, des rues et des trottoirs, sur les terrains en construction, les terrains vagues, les terrains en zones industrielles, les sites de dépôts de neige, etc. Pour en savoir davantage, consultez la page Web Reconnaître et limiter l’herbe à poux sur le site Québec.ca et le Guide de gestion et de contrôle de l’herbe à poux et des autres pollens allergènes publié par le ministère de la Santé et des Services sociaux.

Source : Service des communications | Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Lanaudière

Les plantes grimpantes fruitières

Les plantes grimpantes fruitières

Une plante grimpante fruitière permet de créer facilement un jardin à cueillir 
Pour créer un jardin à cueillir, les plantes grimpantes fruitières tels que ronces, framboisiers, myrtilliers d’Amérique et pieds de vigne n’ont pas besoin de beaucoup d’espace. Ces plantes poussent à la verticale, le long d’un mur, d’une clôture ou d’une pergola et se plaisent même sur les balcons. Elles se parent de belles feuilles et fleurs au printemps. En été, les fruits apparaissent, qui peuvent être récoltés à la fin de la saison et en automne. Les plantes grimpantes fruitières ont donc toujours quelque chose à offrir. Voir les fruits se développer (et les manger ensuite) est une expérience amusante et instructive pour les enfants qui s’inscrit dans la tendance à vouloir connaître l’origine de ce que l’on mange. Et ce que vous ne mangerez pas vous-même fera la joie des oiseaux en automne. ​

Assortiment

L’assortiment de plantes grimpantes fruitières est très diversifié et nous avons sélectionné la mûre sans épines (Rubus fruticosus), la framboise (Rubus idaeus), le raisin (Vitis vinifera) et la myrtille d’Amérique (Vaccinium Coymbosum ou myrtille arbustive). Toutes ces plantes existent en plusieurs variétés, certaines aux formes compactes convenant particulièrement pour les espaces limités. Grâce à la sélection, ces plantes sont plus robustes, plus productives et plus faciles à soigner qu’auparavant.

À savoir sur les plantes grimpantes fruitières 

  • Le mot « mûre » est une déformation de l’ancien mot allemand bram-bezi, devenu en allemand moderne brombeere, et que l’on retrouve dans le néerlandais braambes, l’anglais bramble et le français (f)ramboise. La mûre est en fait la baie primitive européenne.
  • La myrtille d’Amérique est souvent confondue avec la myrtille (Vaccinium myrtillus), mais est souvent plus grande, ne déteint pas et sa feuille vire au rouge écarlate en automne.
  • La framboise, fraîche et juteuse, est considérée comme le caviar parmi les fruits et a la réputation mondiale d’être la plus savoureuse des baies.
  • De l’est de la Chine au sud de l’Europe, le raisin jouit d’un statut spécial en tant que fruit de base servant à la fabrication du vin depuis quelque 9 000 ans. Par la sélection (et un léger changement climatique), la plante pousse de nos jours également dans les régions plus froides comme aux Pays-Bas, en Angleterre et en Scandinavie.

Origine

Beaucoup de plantes grimpantes fruitières font partie de la famille des ronciers. La mûre pousse dans toute l’Europe, mais aussi dans les régions montagneuses d’Amérique du Sud. La framboise est également un grand classique européen, qui nous a envahis à partir du XVIe siècle depuis l’Italie et la Grèce. Le myrtillier d’Amérique est originaire des régions boisées de l’est des États-Unis et n’a été introduite en Europe qu’au début du XXe siècle. Les raisins se sont répandus depuis le Moyen-Orient.

Points à examiner lors de l’achat de plantes grimpantes fruitières

  • Les plantes grimpantes fruitières sont proposées en diverses tailles de pots et à différents stades de maturité. En juin, les plantes doivent normalement être déjà bien fournies, avoir beaucoup de feuilles et de fleurs, ou même porter des fruits.
  • Attention à la proportion entre la taille de pot et la plante, la longueur des tuteurs et l’abondance des feuilles, fleurs et baies.
  • Vérifiez s’il n’y a pas de chenilles, de pucerons ou d’autres parasites tels que le mildiou ou le botrytis.

Conseils de soins 

  • Une plante grimpante fruitiière peut être dans un bac, un pot ou en pleine terre et aime les endroits ensoleillés à semi-ombragés. Le soleil est nécessaire pour faire mûrir les fruits.
  • Les mûres, framboises et myrtilles arbustives aiment les terreaux riches en humus et légèrement acides, tandis que le raisin préfère les sols calcaires.
  • Ne laissez pas la motte se déshydrater, car les plantes absorbent beaucoup d’eau pour la croissance des baies.
  • Veillez à installer un tuteur, un grillage, un cadre ou une pergola le long desquels la plante peut grimper.
  • Durant la saison de croissance, donnez deux fois par mois de l’engrais adapté.
  • La plupart des variétés de plantes grimpantes fruitières leur propre pollinisation et vous n’avez donc rien à faire pour obtenir des fruits.
  • Taillez à la fin de l’hiver ou au début du printemps.

Source: Maplantemonbonheur.fr | L’Office Hollandais des Fleurs

11 nouvelles plantes vasculaires sur la liste des espèces menacées ou vulnérables

11 nouvelles plantes vasculaires sur la liste des espèces menacées ou vulnérables

Conservation de la biodiversité – Québec veut inscrire 11 nouvelles plantes vasculaires sur la liste des espèces menacées ou vulnérables

Le gouvernement du Québec annonce son intention de désigner 11 nouvelles plantes vasculaires, soit huit comme espèces menacées et trois comme espèces vulnérables, afin de les protéger adéquatement et d’assurer leur survie. De plus, en raison de l’amélioration des connaissances sur leur abondance et leur répartition, trois autres espèces passeront de menacées à vulnérables et trois pourront être retirées de la liste. Pour ce faire, une consultation de 45 jours s’amorcera le 22 juin afin de modifier le Règlement sur les espèces floristiques menacées ou vulnérables et leurs habitats.

En désignant ces 11 nouvelles espèces, le gouvernement du Québec s’assure :

  • De reconnaître officiellement leur précarité sur le territoire québécois;
  • De stimuler les initiatives de conservation qui permettront la préservation de ces espèces et qui préviendront la dégradation de leur habitat;
  • De concourir au respect de ses divers engagements en faveur de la protection de la biodiversité québécoise.

Les 11 espèces ont été désignées à la suite d’une évaluation scientifique réalisée par le Comité aviseur sur la flore menacée ou vulnérable, un comité d’experts nommés par le ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques. Rappelons que la dernière vague de désignation d’espèces floristiques par le gouvernement québécois remonte à environ 10 ans.

Citation : 
 
« Le Québec abrite près de 40 000 espèces de plantes et d’animaux sauvages. Face aux changements climatiques et à la perte de biodiversité observés partout dans le monde, le Québec se doit d’être proactif dans la protection des espèces floristiques menacées ou vulnérables. C’est dans cet esprit que le Conseil des ministres a choisi de prendre le dossier à bras le corps pour protéger 11 nouvelles espèces. »

Benoit Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

Faits saillants :

  • Les huit nouvelles plantes considérées comme menacées sont les suivantes :
    • la drave des monts de Puvirnituq;
    • l’aubépine ergot-de-coq (arbre);
    • l’éléocharide à deux étamines;
    • le géranium de Caroline;
    • la houstonie à longues feuilles;
    • l’oxytrope visqueux;
    • la pelléade glabre;
    • et la polanisie à douze étamines de Candolle.
  • Les trois nouvelles plantes considérées comme vulnérables sont :
    • la cardamine bulbeuse;
    • la desmodie paniculée;
    • la vergerette à feuilles segmentées, population du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie.
  • Les trois espèces menacées maintenant considérées comme vulnérables sont :
    • l’aster d’Anticosti;
    • le polystic des rochers;
    • la verge-d’or à bractées vertes.
  • Les trois espèces retirées de la liste des espèces menacées ou vulnérables sont :
    • l’athyrie alpestre;
    • le carex des glaces, populations de la région administrative de la Côte-Nord;
    • la minuartie de la serpentine.

Aujourd’hui, 89 espèces floristiques, dont 65 menacées et 24 vulnérables, sont inscrites sur la liste des espèces désignées au Québec. 507 espèces floristiques, dont 314 vasculaires et 193 invasculaires, y figurent également à titre d’espèces susceptibles d’être désignées menacées ou vulnérables.

Liens connexes :

SOURCE: Cabinet du ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques

 

Est-il prudent de se baigner dans ce lac frais et rafraîchissant?

Est-il prudent de se baigner dans ce lac frais et rafraîchissant?

Par une journée chaude et ensoleillée, passer du temps à la plage et profiter d’une baignade rafraîchissante est l’activité idéale. Avant de plonger, toutefois, prenez quelques minutes pour vous renseigner sur la qualité de l’eau.

Dans certains lacs, la présence de petits organismes appelés cyanobactéries peut entraîner divers problèmes de santé. Les cyanobactéries sont souvent appelées « algues bleues ». Lorsqu’elles se multiplient très rapidement, celles-ci forment des proliférations connues sous le nom
de « proliférations de cyanobactéries » ou « proliférations d’algues nuisibles ».

Ces proliférations de cyanobactéries constituent un problème de santé publique.

On peut être exposé aux cyanobactéries ou à leurs toxines lorsqu’on se baigne, qu’on fait du kayak, du canot ou de la planche à voile. Toute activité aquatique qui nous amène à plonger la tête sous l’eau de façon soudaine ou répétée peut entraîner l’ingestion ou l’inhalation de proliférations nocives.

Si cela se produit, vous pourriez avoir mal au ventre ou avoir l’impression d’avoir la grippe. Si vous ingérez suffisamment de proliférations nocives, vous courez le risque de contracter des affections encore plus graves. De plus, si votre peau entre en contact avec les proliférations de cyanobactéries, vous pourriez ressentir une irritation cutanée.

Voici quelques caractéristiques des proliférations de cyanobactéries :

  • Présence d’une décoloration de l’eau, avec de nombreuses petites particules ou de la mousse, de l’écume ou des tapis à la surface de l’eau.
  • Les proliférations peuvent être bleues, vertes brillantes, brunes ou rouges.
  • Elles ressemblent parfois à de la peinture flottant sur l’eau ou à de l’herbe coupée.
  • L’eau peut sentir mauvais.

Pour vous protéger, suivez les étapes suivantes :

  • Vérifiez si vous voyez des panneaux d’avertissement sur la plage et suivez les instructions.
  • Ne vous baignez pas et ne pratiquez pas d’activités de loisirs comme le ski nautique, la planche à voile ou le kayak en présence de proliférations.
  • Ne laissez pas les enfants ou les animaux domestiques jouer dans l’eau ou boire de l’eau si vous remarquez des proliférations.
  • Si vous ne savez pas si le plan d’eau contient des proliférations de cyanobactéries, restez hors de l’eau.

Vous pourrez ainsi passer une belle journée à la plage et sur l’eau, tout en restant en sécurité.

Source: L’édition Nouvelles

Plantes: Les Modèles orientaux

Plantes: Les Modèles orientaux

Sereins, secrets et fascinants, tels sont le bonsaï, le Ficus Ginseng et le Dracaena lucky bamboo, les Modèles orientaux pour un interieur spirituel.  

Tout en harmonie 
Des milliers d’années de traditions orientales résumées en une combinaison d’équilibre, de simplicité et de beauté naturelle. Avec des plantes telles que le bonsaï, le Ficus Ginseng et le Dracaena lucky bamboo, vous créerez une ambiance de paix et de sérénité dans la maison, surtout si votre intérieur est un peu minimaliste.
Bonsaï 
Bonsaï signifie littéralement en japonais « arbre en pot ». Des plantes ligneuses sont taillées et coupées pour devenir des arbres miniatures dont l’aspect est déterminé par l’essence de l’arbre. On pourrait appeler cela l’art de l’abstraction. Le style bonsaï moderne est né au XVIIe siècle lorsque les maîtres du bonsaï décidèrent que l’essence même de la plante devait déterminer l’ensemble de la composition.
Ficus ginseng
Les formes capricieuses du Ficus ginseng sont toujours différentes, quelle que soit la perspective dans laquelle on les regarde. Les belles racines sont cultivées en Chine (la plante est originaire d’Extrême-Orient) avant d’être taillées en forme de bonsaï dans les serres. Une main experte est alors nécessaire pour que ce robuste Ficus ginseng donne ensuite l’impression que toute la sagesse des siècles est entrée dans la maison.
Dracaena lucky bamboo 
Ce remarquable végétal est idéal pour la méditation (on ne se lasse pas de le regarder !) et est également disponible avec des cannes en forme de spirales. On ne le dirait pas à première vue, mais il fait partie de la famille des asperges et est originaire du Cameroun. Le Dracaena lucky bamboo est immensément populaire en Chine. Il y est offert comme un porte-bonheur au Nouvel An, pour une nouvelle entreprise ou un nouveau logement.
Haïku
Vert si zen
Qu’il flotte jusqu’au firmament
Le temps suspend son vol
Trompeuse simplicité 
Le phénomène des Modèles orientaux trouve son origine à la fin du XIVe siècle, à l’époque où les bouddhistes se mirent à aménager des jardins sobres d’une beauté exceptionnelle pour y méditer. L’hommage à la nature jouait alors un rôle central. La simplicité est trompeuse : ceux qui s’intéressent aux Modèles orientaux constatent rapidement qu’elles apportent de la profondeur à leur environnement et deviennent de plus en plus intéressantes.
Soins 
• Toutes les Modèles orientaux aiment les endroits lumineux, mais pas en plein soleil.
• Le bonsaïs et le Ficus Ginseng aiment un substrat légèrement humide, mais pas trop. Le Dracaena lucky bamboo peut, pour sa part, tremper ses racines dans un peu d’eau.
• Un peu d’engrais une fois toutes les deux à trois semaines suffit.
• Tant que la température ne passe pas sous les 15 °C, ces plantes peuvent rester sur la terrasse.
Style zen 
Tout doit respirer le calme : couleurs neutres, matériaux naturels, avec par exemple quelques jolies pierres. Donnez surtout de l’espace aux Modèles orientaux: elles ne sont pas là pour boucher les coins, mais pour faire figure de plantes solitaires mystérieuses capables de se mettre en valeur elles-mêmes. L’eau est un élément important dans ce style et le Dracaena lucky bamboo est très beau dans une coupe transparente en guise de bassin.

Source: Maplantemonbonheur.fr

La rose, la reine des fleurs

La rose, la reine des fleurs

La beauté incomparable de la rose en fait une invitée de choix à tous les occasions et dans tous les intérieurs.

L’origine de la rose
Les Grecs, les Romains et les Égyptiens de l’Antiquité connaissaient la rose depuis la nuit des temps. Mais nous avons dû attendre le XVIe siècle pour en profiter à notre tour. La popularité de la rose ne cesse depuis de grandir et de nouvelles variétés sont introduites chaque année. Une chose est certaine : la rose va nous accompagner encore longtemps.

Couleurs et formes de la rose
Rouge, blanc, jaune, rose, violet, orange et vert. Couleur pastel ou vive, bicolore ou multicolore. Grande ou petite fleur, tige longue, courte ou ramifiée. Le romantisme et la beauté sont parfois confrontés à un problème de luxe, tant le choix est vaste. Et chaque année apporte son cortège de nouvelles variétés. Que penser de la rose au cœur vert ?

Soins à apporter à la rose

  • Toujours utiliser un vase propre rempli d’eau propre.
  • Ajouter de la nourriture pour fleurs coupées à l’eau pour améliorer leur durée de vie.
  • Recouper les tiges en biais sur 3 à 5 cm avec un couteau bien aiguisé et propre.
  • Dans la mesure du possible, laisser les épines sur les tiges.
  • Refaire régulièrement le niveau d’eau dans le vase.
  • Éviter les courants d’air, le soleil et la proximité d’un radiateur ou d’une coupe de fruits.

Symbolique de la rose
Les fleurs symbolisent l’amour et la confiance et les épines rappellent que tout n’est pas toujours à l’eau de rose. Ce sont surtout les roses rouges que l’on associe à l’amour, mais saviez-vous que chaque couleur a sa propre signification ?

  • Rouge : amour et respect.
  • Blanc : amour authentique, pureté, dignité.
  • Rose : bonheur, gratitude, pureté.
  • Orange : désir, estime, sympathie, appréciation.
  • Jaune : amitié profonde, attachement.

Les combinaisons de couleurs et les combinaisons avec d’autres fleurs ont également leur propre signification. Une rose rouge et une rose blanche expriment le désir de toujours être ensemble. Plusieurs roses dans un bouquet symbolisent la gratitude et une seule rose dans un grand bouquet signifie : « tu es la personne que j’aime, mon seul et authentique amour ! » Faites parler les roses !

Recette de bouquet : Des roses pour (se) faire plaisir

La symbolique des roses peut vous aider à composer ce bouquet pour quelqu’un(e), ou pour vous-même ? Les roses rouges symbolisent l’amour, les roses de couleur rose, la chance et la gratitude, le jaune, l’amitié profonde et l’orange l’appréciation. Vous pouvez très bien les mélanger, en plus d’un  beau bouquet, vous offrez un beau message …

Ce qu’il vous faut

  • Des roses de différentes couleurs
  • Viburnum opulus (viorne obier)
  • Senecio
  • Brassica

Source: Maplantemonbonheur.fr